Celles du 15 mars ont permis l’irruption sur la scène publique des jeunes Français qui, répondant à l’appel de la jeune suédoise Greta Thunberg, refusent de voir sacrifier leur avenir faute de politique énergique pour contre-carrer la mise en danger de l’environnement.

Avec celles du 16 mars, en réunissant des centaines de milliers de citoyens en France mais aussi dans de nombreux autres pays, autour des associations soutenues par les syndicats, démonstration aura été faite que la demande de politiques écologiques et sociales à la hauteur de l’enjeu climatique va croissante et est désormais en mesure de s’affirmer.

Cet enjeu est désormais central et le gouvernement serait bien inspiré d’en tirer toutes les conclusions via la fenêtre ouverte par le grand débat.